Par Moez Sghaier
Mis à jour le 18 août 2024 à 15 h 15
En tant que traducteur professionnel, pour que mon tarif soit équitable, il :
ne doit pas être très bas;
ne doit pas être très élevé;
doit prendre en considération la disponibilité du client à payer le service de traduction demandé;
doit tolérer une remise pour les grands projets;
doit tenir compte d’un montant minimum à facturer;
doit tenir compte d’un surcoût pour les projets urgents.
Mon tarif de traduction en affaires anglais – français n’est pas trop bas
Un tarif équitable d’une traduction en affaires anglais – français ne peut pas être trop bas. Pour être rentable, un projet doit couvrir les coûts générés généralement par mon entreprise de traduction, Moez Translations, notamment :
le mobile multifonction avec une connexion Internet fiable (pour répondre rapidement et efficacement aux demandes des clients);
le matériel informatique (ordinateur de bureau, ordinateur portable de sauvegarde, imprimante/scanner, appreil de déchiquetage);
les logiciels bureautiques (suite MS Office et autres, antivirus, anti logiciels malveillants, facturation, etc.);
les outils de TAO (Trados Studio, memoQ, etc.);
les fournitures de bureau et les frais généraux;
les adhésions (à des organismes professionnels tels que l'American Translators Association);
le marketing (sur des plateformes pour traducteurs telles que ProZ.com, les médias sociaux, mon propre site Web);
assister à des événements de développement professionnel (séminaires en ligne, conférences, etc.).
Mon tarif de traduction en affaires anglais – français n’est pas trop élevé
Un tarif équitable ne peut pas non plus être trop élevé. Pour être compétitif, le tarif que je propose doit être supérieur à celui d’un traducteur en affaires anglais – français proposant une qualité de traduction inférieure.
Il doit être à peu près le même que le tarif d’un traducteur en affaires anglais – français qui propose la même qualité.
Enfin, il doit être inférieur au tarif d’un traducteur en affaires anglais – français qui propose une meilleure qualité.
Mon tarif de traduction en affaires anglais – français prend en considération la disponibilité du client à payer le service de traduction demandé
Un tarif équitable doit tenir compte de la disponibilité du client à payer le service de traduction demandé. Pour ce faire en tant que traducteur en affaires anglais – français, je dois connaître et assumer ce que mon client peut se permettre de payer pour mes services.
Il faut bien se rappeler à cet égard qu’une qualité supérieure mérite un prix plus élevé.
D'autre part en tant qu’entreprise, Moez Translations cherche légitimement et en permanence à obtenir et à intégrer dans son portefeuille les clients qui payent le plus.
Mon tarif de traduction en affaires anglais – français tolère une remise pour les grands projets
Un prix inférieur pour les grands projets me semble également raisonnable. Par exemple, définir un seuil de quelques milliers de mots à partir duquel proposer une remise de quelques points de pourcentage est parfaitement raisonnable.
La raison d’être d’offrir une telle remise est d’encourager un nouveau client à devenir permanent, de mieux couvrir les coûts, en particulier ceux qui sont fixes, par exemple les logiciels, et de donner évidemment à un client ayant un grand volume la priorité par rapport à un client standard.
Mon tarif de traduction en affaires anglais – français tient compte d’un montant minimum à facturer
Il est également juste d’avoir un montant minimal à facturer par heure, par page ou en dollars pour une traduction en affaires anglais - français.
La raison pour cela est que les très petits projets (ne dépassant pas 100 mots) sont difficiles à intégrer dans mon emploi du temps en tant que traducteur en affaires anglais - français.
En outre, le temps passé traitant les très petits projets n’est pas toujours justifié sur le plan commercial. Enfin, les projets sont toujours en concurrence les uns avec les autres car le temps pour y travailler est de toute façon limité.
Mon tarif de traduction en affaires anglais – français tient compte d’un surcoût pour les projets urgents
Il est également légitime de facturer un prix plus élevé pour les projets de traduction en affaires anglais – français urgents : ceux qui doivent être livrés le jour même par exemple. Un surcoût (à négocier avec le client) de quelques points de pourcentage serait raisonnable à cet égard.
La raison pour cela est que le projet de traduction en affaires anglais – français accepté à la hâte devient une priorité par rapport à d’autres projets.
De plus en tant que traducteur professionnel, je n’ai pas d’autre choix que de travailler sous pression pour livrer à temps tout en maintenant les normes de qualité supérieure.
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